Par Jeanne De Petiville, géobiologue de l’habitat dans notre centre


Aujourd’hui, je vous propose de s’intéresser au pendule, outil par excellence de radiesthésie. En tant que géobiologue, c’est mon outil de base dans la détection des nocivités dans les habitats.

Mais alors, comment fonctionne-t-il ?

Le pendule (tout comme les baguettes coudées ou la baguette du sourcier) fonctionne grâce aux micromouvements de notre corps, notamment de nos doigts. Ce n’est donc pas la magie et une super connexion avec un monde invisible qui le mettent en mouvement. Il n’est pas non plus doué d’une vie propre.

Quand je dis « le pendule m’indique une faille qui passe sous votre lit », je pourrais en réalité dire « mon corps m’indique, à travers le pendule, qu’une faille passe sous votre lit ».

Notre corps est un magnifique outil de détection, de perception et de réception que nous n’utilisons que très peu par rapport à son immense potentiel. Apprendre à se servir d’un pendule, c’est aussi apprendre à se connecter à son corps dans ce qu’il sait faire naturellement.

Je reprends l’exemple de la faille. Nous, les humains, avons besoin d’un outil, mais ce n’est pas le cas dans tout le monde du vivant. De nombreux agriculteurs appellent un géobiologue parce que leur troupeau, depuis qu’il est dans sa nouvelle étable flambant neuve, tombe malade et/ou a des problèmes de lactation. La source du problème : dans 80% des cas, on trouve une veine d’eau ou une faille sous l’étable ou la présence d’une ligne à haute tension ou borne relais à proximité. Naturellement, les animaux n’y seraient jamais allés. Cela vient les gêner et elles le manifestent. 

Pourquoi cela ne se manifeste pas de façon aussi flagrante chez nous ? Sans doute parce que nous avons un potentiel d’adaptation qui est énorme et qui est parfois défectueux, allant jusqu’à la suradaptation.
Au fur et à mesure que l’on apprend à se servir d’un pendule, nous pouvons apprendre à écouter notre corps. Le pendule n’est donc pas un instrument de magie, quand il est bien utilisé. Comme tout outil, il est là pour nous accompagner et nous aider. En aucun cas, il ne se transpose à notre libre arbitre. C’est souvent là un apprentissage que les radiesthésistes amateurs et professionnels font.


– Le pendule s’utilise pour prendre le taux vibratoire d’un objet, d’un aliment, d’un animal, d’une personne, d’un lieu = l’énergie émise à un instant T.

– Il peut s’utiliser aussi en version « divinatoire » : je ne vous recommande pas de le faire d’entrée de jeu, mais d’attendre d’être bien aguerri, voire de vous être formé avec un professionel.

– On peut aussi s’amuser à retrouver un objet perdu (clé, portable !), deviner une carte face retournée, repérer un objet chargé énergétiquement chez vous (la commode de Mamie ou la chaise de récup ?), chercher de l’eau dans votre jardin pour y faire un puits, trouver la musique adaptée pour un soin énergétique…

Vous l’aurez compris, cet outil peut s’adapter à énormément de situations !


Requis n°1 : Être ancré. L’ancrage se travaille (yoga, méditation, respirations « pranayama », Qi-gong…)

Requis n°2 : Poser son intention :Notre corps réagit en fonction de ce qui nous anime consciemment ET inconsciemment.

Requis n°3 : Ne pas en abuser, comme toutes les bonnes choses. Donc apprendre à se faire confiance !

Je vous invite à un exercice de base : demander au pendule de vous indiquer le « OUI ». Une fois celui-ci bien régulier dans le mouvement, je vous propose d’écouter ce qui réagit dans votre corps quand vous lui demandez de vous montrer le « OUI ». Avec un peu de patience, vous allez rapidement comprendre où cela se situe dans votre corps : une oscillation, une jambe plus lourde, le bas du dos qui réagit, les mains qui chauffent… Les signes peuvent être très variés.

Vous allez être étonnés !

Pour en découvrir plus et retrouver un lien au corps plus authentique, je vous invite à me contacter : j’organise régulièrement des ateliers à Arc-en-Ciel pour transmettre cette pratique ancestrale 🙂

Toutes les infos sur https://jeanne-geobiologue.fr/actualite/

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